Menotté en pleine nuit

Catégories : LGBT Travesti Gay Lesbienne Trans Sissy GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 6 ans

Menotté en pleine nuit

Je ne suis pas plus obsédé sexuel que d’autres. J’ai trente-deux ans et besoin de baiser comme tout le monde, seulement, moi je le dis et je le raconte. Mais j’ai mes périodes de chaleur. Je peux être sage, voire complètement indifférent au sexe pendant des jours, parfois plus d’une semaine, et puis, quand ça me prend, ça me mange la tête, il n’y a plus que ça qui compte, je deviens comme une bête en chasse, il me faut ma dose, et je suis prêt à tout pour ça.

Je m’appelle Simon, je vis en Provence dans un petit village, mais je suis suffisamment près de Marseille et d’Aix pour ne pas avoir de problème de cul. Physiquement, je suis bien, pas gros, assez musclé, sec, pas la gueule de DiCaprio (heureusement !), mais j’assure viril. J’ai une bonne queue solide de 20 en longueur, par 4,5 de diamètre avec des couilles pleines de jus. Je suis du type « polymorphe », c’est-à-dire que je peux être le taureau qui engrosse comme la pire chienne qui se fait monter, le « master » ou le « slave », ça dépend, j’ai pas d’exclusive comme beaucoup trop. Je vais vous raconter ma dernière période d’obsédé où j’ai larvé un beau blond.

J’avais les abricots gros comme ça. Ça m’avait pris comme ça, sans réfléchir. En peu de temps, j’étais déjà sur Internet, sur des sites de cul bien hard, à mater des scènes crados. À un moment, sur un site cuir US, je suis tombé sur la photo d’un type, un jeune, qui venait de se prendre une méga-éjac faciale, il en avait plein la gueule, tellement de foutre qu’on n’y croyait qu’à peine, mais super-bandante, l’image. Je me suis sorti la bite et j’ai commencé à me caresser, à me flatter en cherchant d’autres photos bien vicelardes : des pénétrations multiples, une double-pénétration (génial !), des fists, des mecs bondagés, d’autres qui se font pisser dessus... Ça y était, le virus redevenait actif, fallait que je baise !

J’ai pris une bonne douche, je me suis nettoyé le cul et je l’ai bien lubrifié au gel. Je me suis enfoncé un gros plug, si des fois j’allais me faire super-enculer, j’ai passer un gros cockring pour bander plus fort et plus longtemps, et plein d’accessoires : Kpotes, gel, gode, menottes, etc. J’ai pris ma bagnole, direction une aire d’autoroute pas très loin où il s’en passe de belles lorsqu’il fait beau.

Il était déjà près de dix heures du soir. Il y avait du monde. Pas mal qui tournaient autour des chiottes, les autres étaient probablement dans les sous-bois. D’abord les chiottes : deux mecs aux urinoirs en train de se mater le boudin, et deux autres qui ne s’ennuyaient pas dans une cabine, à en croire les gémissements au travers de la porte. Bon, pas grand-chose. J’ai tourné plusieurs fois en fixant droit dans les yeux les mecs qui ne me déplaisaient pas. J’avais un bon look, je crois : marcel qui montrait bien ma musculature et mes poils, vieux jean pourri, bottes de l’armée allemande. Et puis je suis tombé sur celui avec qui j’allais m’amuser. Plus jeune que moi, pas plus de vingt-cinq ans, environ 1m80, mince mais pas chétif, cheveux courts, regard de salope, viril mais très probablement salope (ça se sent d’instinct, ces choses-là), beau mec, belle gueule. Quand on s’est croisés, lentement, je me suis mis la main à la braguette pour me palper. Message reçu. Je savais que j’avais amorcé le poisson. Je me suis dirigé sans me presser vers le sous-bois pour m’adosser à un tronc. Je me suis calmement sorti la teub, couilles comprises. Il n’a pas tardé à arriver. Quand il a vu le spectacle, son regard a brillé dans la pénombre. Sans perdre une seconde, il s’est agenouillé et a commencé à s'engouffrer le morceau. J’avais compris : c’était une chienne. Mes besoins sadiques allaient se satisfaire !

Un vrai tire-jus, un pompeur de première, une bonne suceuse. Il m’a fait la totale, et j’aurais très bien pu lui tapisser la gueule de mon foutre gluant si j’avais voulu. Je l’ai giflé avec ma bite, puis je la lui renfonçais v i o l emment, l’empêchant de respirer, me branlant dans la cavité sans me soucier si c’était une bouche ou un cul. Lui, il était tellement occupé à pomper et à me flatter les couilles qu’il n’avait pas encore songé à se débraguetter. Je lui tirais les tifs, les oreilles. J’ai commencé à l’insulter, « t’aime ça, la teub, hein, salope, pompe bien, après je vais te la foutre au cul, etc. » Bon, la sucette, ça allait bien !

Je lui ai dit : « Toi, t’es ma pute, tu vas faire ce que j’ordonne, OK ? Sinon, tu te tires, et je m’en cherche une autre ! » Il attendait que ça. Il m’a répondu : « OK ! » Ben voilà ! Ne croyez pas : tout ce que je lui ai fait subir, j’ai aimé à un moment ou un autre de ma vie le subir aussi, la plupart du temps en bien pire. Polymorphe, je vous dis. « Fous-toi à poil ! » Il s’est dépoilé. Bien foutu, le mec, imberbe (j’aime moins), belle bite raide, et un petit cul pommé qui allait me servir ce soir. Je l’ai branlé deux, trois coups, assez v i o l emment. Il s’est remis à me sucer. Il l’aimait, mon gros morceau ! Puis je lui ai ordonné de me décrasser le cul. Mais juste à ce moment-là, j’ai pensé que j’avais un plug : ça ne cadrait plus avec mon personnage. Alors, en jouant des sphincters et sans qu’il voit quoi que ce soit, j’ai déculé l’objet, qui est tombé dans l’herbe. J’étais quand même bien ouvert. Tant pis pour le plug. Ah, ça lui a plu ! Il s’est mis à me manger la rondelle comme un affamé, à bien enfoncer la langue, à me tartiner de coups de langue. J’aime ça, la feuille de rose, ça me rend dingue ! Je lui ai demandé de s’allonger par terre, et je me suis accroupi au-dessus de sa bouche, en écartant bien. Ah, c’était bon ! Un voyeur en a profité pour mater cinq minutes en se manipulant. Moi, j’insultais ma salope.

Après, je lui ai ordonné de se balader à poil en lisière du sous-bois. Il a hésité. Je lui ai balancé quelques bonnes baffes sur le cul en lui promettant ma teub dans le cul, ou sinon rien. Les quelques mecs qui l’ont vu n’en croyaient pas leurs yeux ! Il y en a un qui est devenu trop entreprenant. J’ai fait : « Pas touche, c’est ma chienne ! Je lui apprends à obéir ! » Mais les voyeurs en voulaient un peu plus. Je leur ai accordé cet innocent plaisir. J’ai dit à mon esclave : « Tiens, v'la un gode et un tube de gel ! Enfonce-le dans ton cul, là, maintenant, après, je te baise, je t’éclate, j’te remplis le boyau !! »

Mieux qu’une vidéo porno ! Il s’est graissé le fion à quatre pattes dans l’herbe, et il s’est enfoncé le gode en latex rose tout en ne cessant de me regarder comme si j’étais vraiment son maître. Moi, je me tirais sur les couilles, les autres se branlaient. Un vieux n’a pas pu se retenir. Il a gémi et a éjaculé. La foutraille est tombée pas très loin de ma lope. Excitant, putain ! Quand le gode a été enfoncé à fond, je lui ai demandé de se relever et de marcher un peu sans que ce dernier ressorte, sinon, fessée. Vous avez déjà essayé ? C’est très dur, quand le fion est bien lubrifié, ça finit par déculer. Ça n’a pas loupé ! Le gode a fini par glisser, mais il a pu le rattr a p e r. J’ai rangé le gode dans mon petit sac de sport et... je lui ai fessé son joli cul à grandes claques pour bien le chauffer. J’y suis allé de bon cœur. On devait nous entendre jusqu’à l’autre bout de l’aire, le bruit sec de la fessée et ses gémissements de plaisir, et moi qui le traitais de sous-m e r d e et pire encore. Ah, le mégashow, il ne manquait plus que des projos.

Puis je lui ai passé les menottes, mais par-dessus une branche basse, si bien qu’il était obligé d’avoir les bras levés en permanence. Il ne voulait pas, mais il a fini par accepter si je lui promettais de ne pas a b u s e r trop de lui : pas d’abattage, pas de fist. Je lui ai dit : « T’auras que ma grosse bite dans ton fion de pédé, rassure-toi ! » Kpote, gel, et vas-y là-dedans ! Je l’ai défoncé, ramoné, comme un soudard, en m’empêchant de déflaquer trop vite, fallait que j’assure le spectacle, il y avait ronde autour de nous, une bonne dizaine de queues qui se faisaient manipuler. Je lui baffais le cul en l’enculant, j’y allais à grands coups. Et puis, la sauce est montée comme de la lave. J’ai lâché les vannes en criant et en m’enfonçant à fond une dernière fois.

J’ai détaché mon beau blond. Il est retombé dans l’herbe. Je lui ai demandé de se faire jouir et aux autres de se rapprocher et de lui juter dessus. Il s’est pris plein de semoule, à tel point que j’ai rebandé aussi sec devant la scène et que je me suis branlé moi aussi. Quand j’ai joui, j’ai bien visé sa gueule. Lui a joui juste à ce moment-là. Mais comme je ne suis pas un salaud, j’ai demandé fermement aux voyeurs de se tirer : « Allez, allez, le spectacle est fini ! » Je lui ai donné des kleenex et lui ai rendu ses fringues. On était contents tous les deux. Mais moi, je savais que dès demain matin, ça me reprendrait la tête...

Simon,

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement